Des techniques cryptographiques et codes secrets Systèmes cryptographiques basés sur le logarithme discret et signature numériques

Présentation

La cryptographie (science ou art du secret) a concerné pendant très longtemps les milieux militaires et diplomatiques. Elle fut le secret, bien mis à l’abri, de grandes puissances étatiques.
Pour cacher ce qu’il y a d’essentiel dans les textes, de l’Antiquité au mouvement littéraire, artisitique et scientifique qui aut lieu en Europe aux XV^e et XVI^e siècles, la science du secret a utilisé des méthodes faisant intervenir des substitutions ou des permutations. Les opérations de chiffrement étaient réalisées par des opérateurs humains.
Aujourd’hui la cryptologie (cryptographie et cryptanalyse) et l’informatique ont partie liée. On peut dire que le développement des ordinateurs est à l’origine d’un nouveau visage de la cryptologie.
Quelques rappels concernant les structures algébriques (sous-semi-groupes, semi-groupes cycliques, groupes, sous-groupe, sous-groupe monogène, sous-groupes cycliques, corps, demaine d’intégrité possédant un nombre fini d’eléments et corps de restes) sont donnés dans le premier chapitre de cet ouvrage. L’étude des systèmes cryptographiques basés sur le logarithme discrt fait l’objet du second chapitre; Les signatures dites numériques (signature d’ElGamal, siganture R S A, signature de Lamport, signatures dites incontestables et signatures dites sans écgec) sont étudiées dans le troisième chapitre.
Le quatrième chapitre est entièrement consacré à la cryptographie des cartes bancaires (conde confidentiel, authetification D E S et signature R S A).

L’Auteur

Alain Pelat est Directeur départemental adjoint des Télécommunications (honoraire) et ancien chef du départment Électronique de l’Institut National des Télécommunications (Évry)